Diabète. Votre type.

Publié le: 13 novembre 2020

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Chez Sanofi, nous pensons que les soins de santé doivent être aussi uniques que vous. Avec des solutions de soins personnalisées pour les personnes atteintes de diabète, Sanofi innove pour les aider à vivre bien et à gérer leur état de manière simple et pratique, sans peur ni fardeau émotionnel.
Chez Sanofi, nous croyons en votre type.

Nos ambassadeurs, un an plus tard

Konner, Student at Stanford University

Lorsque Lucy avait 12 ans et demi, elle pratiquait la natation de haut niveau et se déplaçait fréquemment pour participer à des compétitions. La vie alors était simple et se partageait entre les amis, la famille et la natation. Au  lendemain d’une de ses compétitions, elle commença à perdre du poids et une semaine, elle est passée de 36 kg à 28 kg. Après trois jours d’hospitalisation, elle a appris qu’elle était atteinte de diabète.

« Lorsque j’étais petite, bien avant mon diagnostic, je me souviens avoir dit à mes amis que je mourrais si un jour j’avais le diabète, car je ne pouvais pas envisager de me priver de bonbons et de sucreries. Il se trouve que je ne mourrai pas de diabète mais que cette maladie me suivra jusqu’à ma mort », déclare Lucy, aujourd’hui âgée de 50 ans.   

Après son diagnostic, la vie est devenue pour Lucy un véritable « combat », contre les épisodes d’hyperglycémie, lorsque son taux de sucre sanguin est trop élevé, et contre les épisodes d’hypoglycémie, lorsqu’il est trop bas. Comme bien des personnes auxquelles cette maladie est diagnostiquée, Lucy s’est sentie seule et effrayée par ce que l’avenir allait lui réserver, ne sachant comment faire face à l’idée d’avoir à s’injecter de l’insuline toute sa vie et à contrôler son corps 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ce qui avait été auparavant des plaisirs faciles, comme manger chez des amis ou s’acheter une glace, ne pouvait subitement plus s’envisager sans penser à ses injections d’insuline, ni contrôler sa glycémie.  

« Je me suis rendue compte qu’il fallait que j’arrête de lutter contre l’incontrôlable, mais sans renoncer pour autant », explique Lucy, qui exerce aujourd’hui la profession de kinésithérapeute. « Nous savons que nous avons des limites, mais nous pouvons les surmonter. »

Chaque année dans le monde, environ 425 millions de personnes apprennent qu’elles souffrent de diabète, un chiffre qui devrait se propulser à  690 millions d’ici à 2045.  

Le diabète est une maladie chronique complexe qui survient lorsque la glycémie sanguine, c’est-à-dire le taux de glucose dans le sang, est trop élevée. Le glucose, qui provient des aliments que l’on ingère, est notre principale source d’énergie, mais il doit parvenir à nos cellules et, pour cela, notre pancréas produit une hormone du nom d’insuline. Dans le diabète, l’organisme ne produit pas assez ou pas du tout d’insuline ou encore, il ne l’utilise pas adéquatement et le glucose reste dans le sang au lieu de gagner les cellules. Au fil du temps, l’excès de glucose dans le sang peut causer des problèmes de santé, ce qui explique pourquoi il faut constamment surveiller sa concentration dans le sang ; les moindres petits écarts finissent par s’accumuler et entraîner de graves complications, comme une insuffisance rénale et des maladies cardiovasculaires.

Grâce aux progrès de la recherche, le traitement du diabète s’est affranchi du modèle traditionnel qui consistait à classer les personnes atteintes de diabète dans des catégories, selon leur type de diabète. Non seulement les recherches ont montré qu’il existe plus de deux types de diabète, mais que le paradigme classique voulant que le diabète de type 2 ne survienne que chez l’adulte et le diabète de type 1, uniquement chez l’enfant, n’est plus exact, car les deux formes de la maladie surviennent désormais chez l’adulte comme chez l’enfant.  

Ce constat a permis de recentrer la prise en charge des diabétiques. Chaque personne est unique, aussi faudrait-il personnaliser chaque prise en charge. C’est du moins ce que préconisent l’American Diabetes Association et l’Association européenne pour l’étude du diabète.

« C’est pour cela qu’il existe autant de types différents de diabète. L’insuline peut très bien réagir différemment dans votre corps que dans le mien », explique Felipe Lauand, qui fait partie des équipes Insulines et Solutions dans le diabète de Sanofi. 

Présent dans la sphère du diabète depuis plus d’un siècle, Sanofi a développé, grâce à ses traitements et programmes, une approche personnalisée de la prise en charge de cette maladie. Dans cette optique, il est fondamental de s’assurer que les patients soient au cœur du dialogue avec leurs médecins et, pour ce faire, que ceux-ci doivent avoir accès aux bons outils.   

Pour traiter le diabète dans toutes ses dimensions, Sanofi a développé une approche pluridimensionnelle qui donne aux patients les outils dont ils ont besoin pour vivre leur vie comme ils l’entendent en dépit de leur maladie. « Nous encourageons les patients à se prendre en main, grâce à l’éducation thérapeutique, à des services de soutien, à des applications et des programmes, qui jouent tous un rôle essentiel pour prévenir les complications aiguës et réduire le risque de complications à long terme », précise Felipe Lauand.

Nous recherchons constamment de nouvelles thérapies et nous sommes confiants de pouvoir développer des traitements innovants. « Découvrir de meilleurs traitements pour les patients est un défi qui ne laisse pas de me motiver. Même après de nombreuses années en recherche pharmaceutique, mon équipe et moi-même sommes toujours aussi enthousiastes face aux promesses que recèle la recherche en termes de nouvelles solutions thérapeutiques. Dans ce domaine, il y a encore de la place pour l’innovation », souligne le docteur Norbert Tennagels, qui fait partie de l’équipe Biologie de l’insuline de Sanofi. 

Nous utilisons les technologies les plus récentes pour développer des applications et des objets connectés afin que les patients soient mieux connectés avec leur corps et leurs médecins, et nous travaillons en partenariat avec les autorités de santé  pour garantir l’accès aux soins.

L’éducation figure toutefois au cœur de notre approche et grâce à nos programmes éducatifs, nous donnons aux patients les moyens de prendre le contrôle de leur maladie. 

« En matière de diabète, l’éducation thérapeutique est notre meilleure et plus grande ressource », indique Lucy. « Elle l’est pour les diabétiques, mais aussi pour les familles et les amis et plus particulièrement pour les professionnels de santé. Tous m’ont appris à adopter la bonne attitude face à mon diabète et je leur en suis éternellement reconnaissante. »

Lucy a adapté son diabète à sa vie et le contrôle en surveillant son alimentation, en prenant des médicaments adaptés à sa situation et en faisant suffisamment d’activités physiques. 

« Aujourd’hui, j’éduque sur le diabète. Ma prochaine étape, c’est la rédaction de mon mémoire de master en kinésithérapie sur la neuropathie diabétique. J’espère qu’il sera utile à d’autres. C’est la mission que je me suis donnée, ma contribution pour tous ceux et celles qui souffrent de diabète. »

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