Sanofi’s People: Igniting Potential

Les exploits sportifs comme les découvertes scientifiques ne se produisent pas du jour au lendemain. Ils demandent du courage, de la détermination et un travail acharné. A travers la série Sanofi's People (les visages de Sanofi), nous mettons en lumière des histoires qui incitent au changement. 

Nous souhaitons profiter de l’élan des Jeux de Paris 2024 pour mettre sur le devant de la scène des collaborateurs de Sanofi, des athlètes et coaches de la team Sanofi et d’autres personnalités inspirantes qui nous poussent à repousser nos limites, à aller plus loin et à révéler notre potentiel.

Faites défiler les images pour découvrir leurs histoires.

« La détermination, ça commence dans la tête et dans le coeur »

Dany Dann - Break Dance

Dany Dann

Dany a découvert le breakdance à 15 ans. Peu de temps plus tard, il a décidé de quitter sa Guyane natale pour construire sa carrière en France métropolitaine. Lorsque son "frère de danse" et meilleur ami est décédé d'une crise cardiaque, le breakdance l'a aidé à surmonter son chagrin et l'a encouragé à repousser ses limites pour atteindre le plus haut niveau.

Ambassadeur de la diversité, Dany a créé sa propre association, Best One, pour inspirer les enfants et les jeunes. Il est très fier que le breakdance, né dans la rue et accessible à tous, fasse son entrée aux Jeux Olympiques de Paris pour la première fois en 2024.

Pour lui, l'important, c'est le public : "Je partage avec vous mon amour pour la danse et vous me le rendez par des applaudissements et des sourires. J'adore ça !"

Médaillé d'or aux championnats de France et aux championnats d'Europe en 2022, Dany sera-t-il le tout premier champion olympique de breakdance ?

Alexandre Tang

C'est en regardant le film d’anticipation et de science-fiction dystopique "Bienvenue à Gattaca" lorsqu'il était enfant qu'Alexandre a eu envie de faire bouger les choses et d'essayer de trouver des remèdes au cancer et à d'autres maladies. Sa carrière n'a pas toujours un long fleuve tranquille, mais être un scientifique lui a appris la résilience, la patience et à toujours donner le meilleur de lui-même.

"J'ai appris à dépasser mes limites, comme un athlète doit le faire pour gagner la médaille d’or".

Alexandre fait partie de l'équipe d'immuno-oncologie chez Sanofi. Pour lui, le partenariat avec Paris 2024 va de soi. Le sport et la science partagent le même état d'esprit, la même préparation incroyablement exigeante suivie d'un effort intense, la même détermination pour se dépasser à chaque fois.

Guérir les cancers du sang est la ligne d'arrivée qu'Alexandre vise aujourd'hui. Mais, le connaissant et connaissant son dévouement à rendre le monde meilleur et plus sain, ce ne sera que la ligne de départ de sa prochaine mission.

Ellie Challis

Aujourd'hui athlète paralympique internationale, Ellie n'avait que 16 mois lorsqu'elle a contracté la méningite, entraînant l'amputation de ses membres. Elle a commencé à prendre des cours de natation à 8 ans après avoir été inspirée par l'histoire d'un dauphin amputé de la queue.

En 2012, elle a assisté aux Jeux paralympiques de Londres et un déclic s'est produit :

"J'ai juste su que la para-natation était quelque chose que je voulais vraiment pratiquer professionnellement" - et avec la détermination qui la caractérise, elle l'a fait.

Aujourd'hui, à seulement 18 ans, Ellie est la plus jeune médaillée paralympique britannique, avec une médaille d'argent remportée à Tokyo en 2020.

En plus de se préparer pour Paris 2024, Ellie utilise sa notoriété pour encourager le changement, en partageant son histoire pour sensibiliser et mieux prévenir la méningite. Elle est la preuve vivante que les personnes vivant avec un handicap peuvent déplacer des montagnes et son histoire ne fait que commencer.

Micaela Vitor

Micaela a commencé sa carrière en appliquant ses compétences en génie chimique et mécanique à la biologie. Voyant l'impact potentiel de son travail sur la vie des patients, elle a rejoint Sanofi en tant que chercheur principal. . Voir l'impact de son travail sur la vie des patients t l'a guidée dans ses choix de carrière pour devenir chercheuse chez Sanofi. 

Micaela déploie une expertise unique dans ce poste, ainsi que des approches de rupture pour la découverte d'anticorps et l'utilisation des nanotechnologies."La diversité est importante pour évoluer. Elle favorise l’ouverture d’esprit."

Micaela est une fervente ambassadrice des bénéfices de la diversité dans la science. Des points de vue différents sur une problématique permettent d'arriver à des solutions créatives, ce qui s'est avéré vital pour ses recherches.

Selon elle, l'échec est une autre partie importante du processus de recherche : il nous encourage à identifier pourquoi quelque chose ne fonctionne pas, à changer de stratégie, à nous améliorer et finalement à faire mieux.

"La résilience est très importante en science".

C'est cette persévérance, cette créativité et cette curiosité qui font de Micaela la scientifique qu'elle est aujourd'hui, alors qu'elle s'efforce de poursuivre les miracles de la science pour améliorer la vie des gens.

Théo Curin

À l'âge de 6 ans, Théo Curin s'est réveillé avec un terrible mal de tête et des douleurs dans le dos et le cou. Ses parents l'emmènent en urgence à l'hôpital où on lui diagnostique une méningite bactérienne. Les médecins ont dû agir vite et prendre la décision de l'amputer de ses quatre membres pour lui sauver la vie.

Avant sa maladie, Théo avait la phobie de l'eau. Mais il a su dépasser sa peur et s'est vite rendu compte que c’était dans cet élément qu'il se sentait le mieux, sans prothèse, ni fauteuil. Cette sensation de liberté et de légèreté qu'il a ressenti dans l'eau lui a permis de progresser rapidement et de devenir, très vite, l’un des grands espoirs de la natation handisport. En 2016, il participe aux Jeux paralympiques de Rio en étant le plus jeune de la délégation française. En 2017, il devient double vice-champion du monde. Plus récemment, Théo a traversé le lac Titicaca à la nage en totale autonomie. En novembre dernier, il est devenu le premier athlète handisport à terminer les 57 kilomètres de la Santa Fé-Coronda en Argentine, l’une des 3 courses en eau libre les plus difficiles au monde.

"Sans cette maladie, je n'aurais jamais pris conscience de l'importance de vivre pleinement sa vie."